Placebo - Brian Molko mon amour
Peu de temps notre retour de Center Parc, nous avons été au concert de Placebo au Zenith de Paris. J'avais déjà assisté à un concert de Placebo il y a quelques années de ça. C'était la première fois que j'allais à un concert (instant émotion). A l'époque je ne connaissais pas encore tous les albums du groupe, et la salle était plutôt petite avec seulement une fosse. Le concert m'avait plutôt déroutée, ne sachant pas trop si les gens venaient pour écouter la musique, faire des pogos ou fumer un joint tranquille...
J'ai pu constater qu'au Zenith comme ailleurs, Brian Molko est toujours tout petit et Stefan Olsdal toujours aussi grave. Placebo on les aime (ou pas d'ailleurs) à la fois pour leur style gothico-dépressif, écorché vif, androgyne, et pour leur musique qui est à la hauteur de leur forte image.
Personnellement je ne m'attendais pas à ce qu'ils mettent spécialement le feu au Zenith comme peuvent le faire Dyonisos ou Franz Ferdinand, mais j'attendais quelque chose de plus en retenue, avec plus d'émotions à partager avec le public à travers la musique, le texte et surtout leur comportement, fidèle à leur image : sombre, mal dans ta peau mais brillant pour ces mêmes raisons. Ecorché vif et talentueux.
Verdict : c'était tout à fait ça. La voix de Brian Molko est superbe, elle a un timbre immanquable, qui passe aussi bien en concert que sur les albums (ce qui n'est pas toujours le cas, si on pense à Coldplay par exemple). La musique est sophistiquée mais pure.
Ils ont chanté beaucoup de morceaux des anciens albums et c'était vraiment top de les voir sur scène, exprimer tout leur mal-être et leurs émotions qui résonnent avec les nôtres et celles qu'on a développées en les écoutant.
Au final, le dernier album n'est pas si mal que ça, même si les messages qu'il contient ont un peu évolués (ils militent pour l'environnement maintenant...) et transmettent à mon avis moins d'émotions et réveillent moins de choses chez le public qu'avant. Leurs textes sont peut-être également moins travaillés, mais en concert c'était tout de même sympa.
C'était vraiment génial, et en bonus une petite vidéo du concert :
J'ai pu constater qu'au Zenith comme ailleurs, Brian Molko est toujours tout petit et Stefan Olsdal toujours aussi grave. Placebo on les aime (ou pas d'ailleurs) à la fois pour leur style gothico-dépressif, écorché vif, androgyne, et pour leur musique qui est à la hauteur de leur forte image.
Personnellement je ne m'attendais pas à ce qu'ils mettent spécialement le feu au Zenith comme peuvent le faire Dyonisos ou Franz Ferdinand, mais j'attendais quelque chose de plus en retenue, avec plus d'émotions à partager avec le public à travers la musique, le texte et surtout leur comportement, fidèle à leur image : sombre, mal dans ta peau mais brillant pour ces mêmes raisons. Ecorché vif et talentueux.
Verdict : c'était tout à fait ça. La voix de Brian Molko est superbe, elle a un timbre immanquable, qui passe aussi bien en concert que sur les albums (ce qui n'est pas toujours le cas, si on pense à Coldplay par exemple). La musique est sophistiquée mais pure.
Ils ont chanté beaucoup de morceaux des anciens albums et c'était vraiment top de les voir sur scène, exprimer tout leur mal-être et leurs émotions qui résonnent avec les nôtres et celles qu'on a développées en les écoutant.
Au final, le dernier album n'est pas si mal que ça, même si les messages qu'il contient ont un peu évolués (ils militent pour l'environnement maintenant...) et transmettent à mon avis moins d'émotions et réveillent moins de choses chez le public qu'avant. Leurs textes sont peut-être également moins travaillés, mais en concert c'était tout de même sympa.
C'était vraiment génial, et en bonus une petite vidéo du concert :
1 Comments:
J'ai assisté au concert du zénith de Paris le 25.10.2009,et PLACEBO était formidable,avec un Brian Molko divin,une voix exceptionnelle.Brian Molko est peut-être petit,c'est vrai,mais qu'est-ce-qu'il est grand par son talent,son intelligence et sa culture!
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