Cauterets [2]
Nous avons également fait l'ascension depuis le pont d'Espagne jusqu'au lac de Gaube, puis du lac de Gaube jusqu'aux Houlettes de Gaube, le refuge au pied du petit Vignemale. La première partie n'est pas passionnante en soit, et généralement il y a beaucoup de monde et il faut passer assez tôt pour ne pas être gêné. Le lac est - à mon avis - moins beau que celui d'Estom mais se laisse tout de même admirer.
La seconde partie de la balade est par contre assez magique. Il y a déjà beaucoup moins de monde une fois qu'on a passé le lac, et les paysages sont magnifiques. Normalement, on est censé voir des tas de marmottes à cet endroit, mais pour notre part, impossible d'apercevoir ne serait-ce que l'ombre d'une seule. On en a entendu une siffler... et... c'est tout. On traverse de vastes étendues toutes plates avec de l'herbe et des ruisseaux, et personnellement cela ne m'aurait pas surprise de voir des centaures ou des pégases se prélasser dans ces grands espaces. On se croirait dans la pastorale de Fantasia ! Même si au final c'est un peu long et qu'on a l'impression au moins trois fois d'être arrivé au refuge mais que non, en fait il reste encore du chemin, la vue à l'arrivée vaut vraiment le déplacement.
Si on n'a pas vu de marmottes, on a vu des névés, et on a fait une bataille de boules de neige en plein été. On ne peut pas tout avoir.
La seconde partie de la balade est par contre assez magique. Il y a déjà beaucoup moins de monde une fois qu'on a passé le lac, et les paysages sont magnifiques. Normalement, on est censé voir des tas de marmottes à cet endroit, mais pour notre part, impossible d'apercevoir ne serait-ce que l'ombre d'une seule. On en a entendu une siffler... et... c'est tout. On traverse de vastes étendues toutes plates avec de l'herbe et des ruisseaux, et personnellement cela ne m'aurait pas surprise de voir des centaures ou des pégases se prélasser dans ces grands espaces. On se croirait dans la pastorale de Fantasia ! Même si au final c'est un peu long et qu'on a l'impression au moins trois fois d'être arrivé au refuge mais que non, en fait il reste encore du chemin, la vue à l'arrivée vaut vraiment le déplacement.
Si on n'a pas vu de marmottes, on a vu des névés, et on a fait une bataille de boules de neige en plein été. On ne peut pas tout avoir.
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